jeudi 29 mai 2014

César Domela – Achat – 1978

Je ne vois pas pourquoi des rectangles blancs, noirs et rouges sont de l’art. Alors  dans la même lignée mon cours de géométrie (Math)  est aussi  de l’art !    Monet pour moi, c’est de l’art : ces peintures représentent des choses réelles.  Mais il est vrai que la beauté n’est pas ce qui est beau mais ce qui nous plaît  comme dit le proverbe italien d’une de mes dissertations.
Par contre les couleurs  me plaisent ; elles sont bien trouvées. Bien que fades, elles sont harmonieuses entre elles. Ces couleurs sont passe-partout  et complémentaires (Ying/Yang).
Ce tableau est structuré au contraire de Picasso. Les formes ne sont pas posées aléatoirement mais disposées dans un ordre précis.


François De Ridder

mercredi 28 mai 2014

Vicente do Rego Monteiro – l’enfant et les bêtes – 1925

Adi a 7 ans, et il n’aime pas les animaux, il les déteste d’ailleurs. A 2ans, il s’est fait attaquer par un loup de Bretagne. Ce lourd traumatisme a laissé quelques séquelles. Maintenant il a peur des animaux : chats, chiens, lapins, il les craint tous. Il va devoir surmonter sa peur s’il veut survivre dans ce monde où il est seul. Seul sans personne. Seul avec sa phobie des animaux.

Il y a très peu de couleur dans ce monde. En fait, il n’y a que du rouge. Et ce n’est pas par hasard. Le rouge est synonyme de sang, de peur ainsi que de cauchemar. Il va falloir surmonter tout cela si vous voulez survivre dans ce monde de bêtes.


Thibault Plessy

Hisao Domoto – Peinture – 1960


C'est un monde dans lequel la peur, l'incertitude, la joie, le désespoir, la famine, la guerre, la mort mais aussi quelquefois le bonheur sont maîtres.
C'est un monde où je ne peux rien toucher car la pollution m'en empêche.
C'est un monde qui sent le mazout, la pollution mais aussi la mort.
C'est un monde où j'entends des gens crier, pleurer, rire, parler, s'extasier et plein d'autres choses encore.
C'est un monde où je peux voir les immeubles et gratte-ciel, les catastrophes naturelles et leurs conséquences et des personnes désespérées.
C'est un monde trop triste à mon goût, où le chimique s'est emparé de tout.
C'est un monde impossible où personne ne voudrait  faire sa vie.
C'est un monde dont sonne bientôt la fin.

C'est un monde qui ressemble pourtant de très près au mien.


Edgard Nollevaux

mardi 27 mai 2014

Ernst Ludwig Kirchner – La toilette (femme au miroir) – 1920

Émilie était heureuse en se rendant à la brocante du village. 
Elle adorait cet endroit car il y avait souvent des objets étranges.

Tandis qu'elle furetait entre les étals, son regard fut attiré par un vieux miroir.
Rien d'extraordinaire à première vue. Sauf que, quand Émilie se regarda dans ce miroir, elle disparut tout simplement.

Quand, plus tard, un passant regarda le miroir, ce n'était pas son reflet qu'il vit mais l'image d'une jeune fille.


Simon Desseille

José Cuneo – Luna de tres picos – 1930

La lumière est dévorée par les ténèbres. Le soleil laisse sa place à la lune, ils forment un tout et l'un ne vit pas sans l'autre. Les êtres de la nuit sortent de leur cachette tandis que les êtres du jour s'apprêtent à rejoindre les bras de Morphée. Tous se succèdent comme le jour et la nuit.


Nicolas Van Asten

Henry Valenci – mariage des palmiers – 1921

Nous vivons dans un monde de joie, de soleil et de chaleur.
Une odeur fruitée et florale flotte dans l’air pour notre plus grand plaisir.
Une musique douce et joyeuse résonne dans nos oreilles.
Les rayons du soleil viennent caresser notre peau et réchauffer notre cœur.
Des paysages magnifiques se dessinent à l’horizon.
Ce monde est beau, harmonieux, presque parfait.
Ce monde où tout parait simple, où chaque chose parait extraordinaire.
La magie entre par tous nos sens, c’est le véritable bonheur.

Eléonore Roscoe

lundi 26 mai 2014

Tarsila do Amaral - a cuca - 1924

Dans la forêt , se trouvaient  un renard , une chenille , une grenouille , une fouine. Ces quatre animaux se parlent sur  fond d'arbres  enfeuillés en forme de coeur et sous un ciel bleu azur. Le vent souffle sur les fougères, les rochers ne bougent pas. La fouine est assise sur une table .
Bien a vous .


Thomas Dufrasne

Robert Delaunay – formes circulaires, soleil n°2 – 1912-1913

C’est l’histoire d’un homme qui voulait décrocher la Lune. Mais cette lune se trouve loin de lui, au centre du monde. Pour l’atteindre, il doit passer par plusieurs couleurs. Certaines sont plus jolies, d’autres moins. Le jaune symbolise l’unité, le noir est associé au deuil, le bleu la joie, le vert la déception, l’orange la tristesse, et bien d’autres couleurs encore y sont présentes. Voilà tout le chemin à parcourir pour arriver à la Lune.
En réalité, la Lune symbolise le bonheur. Et cet homme se rend compte, au fur et à mesure, qu’aucune vie n’est parfaite. Ce sont les épreuves qu’il traverse qui le font avancer. C’est en tombant qu’il se relève toujours plus fort et qu’il grandit. Il en apprend tous les jours et certes parfois des choses font mal, mais s’il veut décrocher la Lune, il lui faudra d’abord atteindre les étoiles, et pour cela il faut encaisser les coups durs. Certaines leçons sont mieux apprises dans la douleur mais malgré tout, il faut continuer à avancer et toujours persévérer pour obtenir ce que l’on veut.


Pauline Mailleux