mardi 3 juin 2014

Francis Picabia - L'adoration du veau - 1941

La ville de « Braxelles » était assiégée par la ville de « Parus » depuis plus d’un an.
L’eau commençait à se faire rare. Les habitants tombaient comme des mouches dû à la déshydratation, « Braxelles » était prête à se rendre mais le général refusait . Il disait qu’il y avait une solution pour tous les problèmes. Il chercha pendant des jours, des semaines mais il ne trouva rien. Le jour où il décida de se rendre, il fit un dernier tour de la ville pour voir une dernière fois « Braxelles » libre et là, le déclic se fit, il a trouvé la solution. Il venait de voir un fermier traire ses vaches. Il alla parler au fermier. Ce dernier lui dit qu’il a un jeune veau qui a le don de ne jamais se vider de son lait. Tout le lait servit à réhydrater tout le monde ainsi que les soldat et 2 jours plus tard, « braxelles » gagna la guerre. Ce tableau a été peint après la guerre. Le foulard bleu du veau représente l’eau en honneur de la réhydratation de la ville.


Brieuc de Moffarts

Pablo Picasso - Le guitariste - 1910

C’est l’histoire d’un homme qui passe tout son temps libre en compagnie de sa guitare. Il se lève, il compose, il joue et il dort.
Et cela se répète de jour en jour.

En plus de ne rien posséder à part sa guitare, cet homme est plongé dans la solitude. Pourquoi? Parce que le monde préfère ignorer ce qu’il ne comprend pas, même si cet élément nouveau  est ce qui peut  permettre a n’importe qui de…s’exprimer.

Un évènement arrivera, un évènement qui changera au monde sa manière de penser.


Joël Lwamba

Amanda de Léon - Bird Vendors - 1955

Il était une fois jack et Sabrina, 2 vendeurs et éleveurs de perroquets. Tous les dimanches matin, ils s'en allaient au marché de  Stocker. Généralement, ils vendaient tout leur stock de perroquets. Cela  se vend  très bien et très cher là où ils habitent. Mais ils avaient un concurrent direct. Marcelo élevait des perroquets à qui ils donnaient une potion secrète. Mais d'habitude, Jack et Sabrina vendaient tout leur stock mais pourquoi pas ce dimanche?
Découvrez le vite en lisant ce roman

Robin Depireux

Henri Valensi - Symphonie verte - 1935

C’est l’histoire d’un monde sous-marin. Les êtres sont tous morts, il n’y a plus de vie sauf un être, un têtard. C’est la fin du monde, le têtard sait qu’il va bientôt mourir. Il va tout faire pour survivre. Il y a des endroits où l’eau est verte, fait des tourbillons, à d’autres endroits l’eau est toujours verte mais cette fois si l’eau fait des formes rectangulaires. Le têtard ne sait pas comment faire pour survivre. Il va se réfugier dans les lignes dans l’espoir de vivre, sans savoir que les lignes bougent dans tout les sens. Plus loin les tourbillons l’emportent loin, très loin. Sur cette île on ne retrouvèrent rien pendant un siècle, jusqu'à se que quelque chose apparaisse, on ne sait pas quoi mais ça à l’air très étrange…


Camie Suray

Alfredo Gramajo - Un entierro mi pueblo - 1925

Il était une fois un petit village. Ce village s'avère très chrétien. Un beau jour, Marcel, le chef du village, va recevoir un «appel» de Dieu. Tout le village va se lancer dans un pèlerinage pour se recueillir et découvrir qui ils sont vraiment et se faire une vision du monde. Leur but est de traverser l'Amérique du nord au sud afin de trouver réponses à leurs questions. Mais rien ne va se passer comme prévu. Ces villageois vont-ils parvenir au bout de leur périple?


Thomas Baily

Sonia Delaunay - Rythme - 1938

Je suis dans un nouveau monde. Un monde où beaucoup de choses bizarres se passent. Je rencontre tout d’abord une famille de petits elfes, tous avec un style différent. Ils sont très amicaux et ils sont toujours heureux. Je leur dis au revoir et je continue mon chemin. Je rencontre ensuite des centaures. Ils sont peut-être un peu grincheux mais au fond ils sont très gentils. Ils m’invitent donc à manger. Le repas fini, je décide de trouver un endroit pour dormir. Je trouve un endroit qui avait l’air normal mais qui est loin d’être normal. Tout est magique. Je remarque qu’il y a 3 Lunes. Elles sont chacune de couleur différente. C’est un monde extraordinaire. Je crois que je vais beaucoup me plaire ici.

Lola Bouchat

Piet Mondrian - New York City - 1942

(Quatrième de couverture)

C’est l’histoire de Jean, un jeune Parisien de 23ans qui a une vie assez compliquée. Entre ses problèmes de couple ou problèmes financiers, tout part un peu dans tout les sens. Sa vie et ses problèmes sont un peu comme une carte du métro Parisien.
Jusqu’au jour, où Jean va faire une incroyable et improbable rencontre qui va bouleverser sa vie et peut-être régler 2 ou 3 choses.
Comment sa vie va-t-elle changée ? Lisez le et vous le saurez !

Critique : J’ai adoré ce livre, il est juste INCROYABLE, il n’y a pas d’autres mots, franchement top ! Cette histoire d’un jeune homme dont la vie est un peu brouillée, puis la fameuse rencontre… Excellent !



Thibault Closset 

Natalia Gontcharova - Les lutteurs - 1962

C’est l’histoire de Patrick et Bob qui ont toujours voulu devenir des lutteurs. Ils vivent dans une famille de lutteurs de père en fils et ils avaient eux aussi envie devenir des vrais lutteurs, de vrais catcheurs. Un jour, pour leurs 18ème anniversaire, leurs parents ont organisé leur 1er combat officiel. Bob a gagné tandis que Patrick le cadet de la famille a perdu son combat. Alors, ils ont vu qui était le plus fort et alors à ce moment là, une bombe a explosé et les 2 catcheurs sont morts.


Guillaume Rihoux

José Cuneo - Lune de tres picos - 1887

Il était une fois l’histoire d’une femme africaine qui allait chercher de l’eau mais ce jour-là, elle fut prise de surprise par un violeur… Un homme caché, profitant de la nuit, surgit d’une dune sur sa proie, éclairé par les quelques rayons de la lune…
Va-t-elle réussir à s’échapper ?


Brieuc Quirynen

Pierre Girieud - Porta Ovile - 1911

Un homme et une femme s’aimaient terriblement mais ils ne pouvaient s’aimer. Dans leur ville on ne peut s’aimer comme on veut. Les sages pensaient que l’homme était Satan si le père de la fille ne le choisit pas. Ils décidèrent alors d’avoir une relation cachée. Ils n’ont jamais rien fait de mal jusqu’au jour où….
La femme en eu assez de cette relation où il n’y avait que bisous et câlin. Elle voulait passer à l’étape supérieure. Ils se donnèrent rendez-vous à l’aube sur la colline verte, cette colline était la plus belle de toutes, il n’y avait pas une mauvaise herbe, c’est la qu’ils se donnaient souvent rendez-vous. Ils y sont allés, mais au moment de passer à l’acte l’homme annonça une terrible nouvelle à sa compagne. Ce qui faisait passé son envie. Ils finirent leurs discussions mais ne se sont malheureusement plus jamais revu…


Marie-Alix d’Harveng 

René Magritte - Le modèle rouge - 1935

Tout commença lorsque Quentin vit ces grosses bottines noires dans l’allée Hermès. Ces bottines semblaient venir d’un autre monde. Elles avaient quelque chose de spécial. Il fallait que Quentin les prenne. Il ne put s’en empêcher mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’une fois qu’on les met, on ne peut leur échapper. En effet, ces bottines s’attachent à vos pieds et font ressortir vos orteils. Quentin va avoir bien des surprises tout au long de cette aventure…


Thomas Antoine 

Sonia Delaunay - Prismes électriques - 1914

Irène et ses aventures

Dans un monde où tout est coloré, où la joie et la sérénité règnent, deux hommes du monde opposé vont créer la zizanie. Ils viennent pour un but bien précis. Nul ne sait pour lequel. Irène une jeune fille âgée de huit ans va par hasard les rencontrer, ils la kidnappent et vont vivre toutes sortes d’aventures à travers ces deux mondes. Irène est-elle ce qu’ils cherchent ?


Maud Alexis

Abdelkader Guermaz - Sans titre - 1972-1973

Couchée dans mon lit, je me suis laissée bercer pas la respiration rassurante de celui qui fait battre mon cœur depuis trois ans déjà.
Comme tous les soirs, j’ai attendu qu’il s’endorme, comme tous les soirs, j’ai écouté sa respiration si reposante. Et comme tous les soirs, je suis tombée dans les bras de Morphée.
C’était un soir comme les autres, vraiment. Mêmes habitudes, même rêve. Je me retrouve dans un monde si faux et si réel à la fois. Un monde sombre mais rassurant, grand mais restreint, agréable et inquiétant.
Je dois toujours marcher un long moment pour arriver à la rivière. Une rivière si limpide et pure, au premier abord du moins.
Si je m’y penche, elle me rappelle, me raconte ma vie. Des objets apparaissent, des objets importants.
Ma première dent, un doudou, une photo. Plus le temps passe, plus le courant s’accélère. Mon diplôme, mon alliance, une rose…
Et puis la lettre. Cette maudite lettre signée « Je t’aime » suivit d’un prénom qui n’est pas le mien. Une serviette recouverte de rouge à lèvres. Un verre brisé. Puis s’enchaînent à une vitesse folle la poêle, un vase brisé, des objets lourds que je ne parviens plus à identifier à cause de mes yeux brouillés de larmes. Je les essuie d’un geste rageur. Le couteau et enfin la batte. Et la rivière se teinte de rouge.
Je fais demi-tour, la tête bourdonnante. Je ne voulais pas voir la suite. Mais mue d’une volonté qui n’est pas la mienne, je me suis retournée et je l’ai vu. Un corps flottant à la surface.
Je me suis réveillée trempée de sueur et de larmes. La respiration a cessé. Elle n’est plus. Je l’ai tué.


Shani Jacquet

Vassily Kandinsky - Improvisation XIV - 1910

C’est quoi ce bruit ? D’où vient-il ? Ca ressemble à un cri d’oiseau. Cela fait très mal aux oreilles. Je vois tout le monde autour de moi qui a mal. Est-ce la fin ? Le monde que je connaissait d’avant n’est plus le même. Le monde est déformé et les couleurs sont accentuées. On dirait un film en accéléré, tout est arrivé si vite. Le monde que je connaissais était mieux, tout était mieux avant… Ce n’est pas un rêve, c’est bel et bien réel. Que m’arrive t’il ? Au loin je vois des animaux qui essayent de fuir le bruit mais impossible, il est partout ! Je n’arrive même plus à bouger, je suis comme « paralysé». Je ne sais plus quoi faire ni penser, je n’arrive même plus à vivre dans un monde qui est devenu comme ça.


Perline Fallais

jeudi 29 mai 2014

César Domela – Achat – 1978

Je ne vois pas pourquoi des rectangles blancs, noirs et rouges sont de l’art. Alors  dans la même lignée mon cours de géométrie (Math)  est aussi  de l’art !    Monet pour moi, c’est de l’art : ces peintures représentent des choses réelles.  Mais il est vrai que la beauté n’est pas ce qui est beau mais ce qui nous plaît  comme dit le proverbe italien d’une de mes dissertations.
Par contre les couleurs  me plaisent ; elles sont bien trouvées. Bien que fades, elles sont harmonieuses entre elles. Ces couleurs sont passe-partout  et complémentaires (Ying/Yang).
Ce tableau est structuré au contraire de Picasso. Les formes ne sont pas posées aléatoirement mais disposées dans un ordre précis.


François De Ridder

mercredi 28 mai 2014

Vicente do Rego Monteiro – l’enfant et les bêtes – 1925

Adi a 7 ans, et il n’aime pas les animaux, il les déteste d’ailleurs. A 2ans, il s’est fait attaquer par un loup de Bretagne. Ce lourd traumatisme a laissé quelques séquelles. Maintenant il a peur des animaux : chats, chiens, lapins, il les craint tous. Il va devoir surmonter sa peur s’il veut survivre dans ce monde où il est seul. Seul sans personne. Seul avec sa phobie des animaux.

Il y a très peu de couleur dans ce monde. En fait, il n’y a que du rouge. Et ce n’est pas par hasard. Le rouge est synonyme de sang, de peur ainsi que de cauchemar. Il va falloir surmonter tout cela si vous voulez survivre dans ce monde de bêtes.


Thibault Plessy

Hisao Domoto – Peinture – 1960


C'est un monde dans lequel la peur, l'incertitude, la joie, le désespoir, la famine, la guerre, la mort mais aussi quelquefois le bonheur sont maîtres.
C'est un monde où je ne peux rien toucher car la pollution m'en empêche.
C'est un monde qui sent le mazout, la pollution mais aussi la mort.
C'est un monde où j'entends des gens crier, pleurer, rire, parler, s'extasier et plein d'autres choses encore.
C'est un monde où je peux voir les immeubles et gratte-ciel, les catastrophes naturelles et leurs conséquences et des personnes désespérées.
C'est un monde trop triste à mon goût, où le chimique s'est emparé de tout.
C'est un monde impossible où personne ne voudrait  faire sa vie.
C'est un monde dont sonne bientôt la fin.

C'est un monde qui ressemble pourtant de très près au mien.


Edgard Nollevaux

mardi 27 mai 2014

Ernst Ludwig Kirchner – La toilette (femme au miroir) – 1920

Émilie était heureuse en se rendant à la brocante du village. 
Elle adorait cet endroit car il y avait souvent des objets étranges.

Tandis qu'elle furetait entre les étals, son regard fut attiré par un vieux miroir.
Rien d'extraordinaire à première vue. Sauf que, quand Émilie se regarda dans ce miroir, elle disparut tout simplement.

Quand, plus tard, un passant regarda le miroir, ce n'était pas son reflet qu'il vit mais l'image d'une jeune fille.


Simon Desseille

José Cuneo – Luna de tres picos – 1930

La lumière est dévorée par les ténèbres. Le soleil laisse sa place à la lune, ils forment un tout et l'un ne vit pas sans l'autre. Les êtres de la nuit sortent de leur cachette tandis que les êtres du jour s'apprêtent à rejoindre les bras de Morphée. Tous se succèdent comme le jour et la nuit.


Nicolas Van Asten

Henry Valenci – mariage des palmiers – 1921

Nous vivons dans un monde de joie, de soleil et de chaleur.
Une odeur fruitée et florale flotte dans l’air pour notre plus grand plaisir.
Une musique douce et joyeuse résonne dans nos oreilles.
Les rayons du soleil viennent caresser notre peau et réchauffer notre cœur.
Des paysages magnifiques se dessinent à l’horizon.
Ce monde est beau, harmonieux, presque parfait.
Ce monde où tout parait simple, où chaque chose parait extraordinaire.
La magie entre par tous nos sens, c’est le véritable bonheur.

Eléonore Roscoe

lundi 26 mai 2014

Tarsila do Amaral - a cuca - 1924

Dans la forêt , se trouvaient  un renard , une chenille , une grenouille , une fouine. Ces quatre animaux se parlent sur  fond d'arbres  enfeuillés en forme de coeur et sous un ciel bleu azur. Le vent souffle sur les fougères, les rochers ne bougent pas. La fouine est assise sur une table .
Bien a vous .


Thomas Dufrasne